le théâtre en cours de littérature
Le théâtre : un spectacle politique
Corneille et son temps

Théâtre et modernité : fiche de références littéraires de la modernité au théâtre
Citations
Citations célèbres
cf. https://gratuit-4814693.webadorsite.com/hypokhagne-cpge-al/lettres-cours/citations-litteraires
« Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? » I, 4, Don Diègue
« À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire » II, 2
« Va, je ne te hais point. » III, 4, Chimène
« Laisse faire le temps, ta vaillance et ton roi », dernier vers du Cid
Le Cid, Pierre Corneille
« Je suis maître de moi comme de l'univers », Cinna, V, 3, Pierre Corneille
« Dieu ne veut point d'un cœur où le monde domine » Polyeucte, I, 1, Pierre Corneille
« Eh bien ! Oui, c’est mon vice. Déplaire est mon plaisir. J’aime qu’on me haïsse. »
tirade de Cyrano de Bergerac, Edmond Rostand - limites de l’orgueil, empathie, admiration
tirades célèbres :
« Non, merci ! » : Cyrano de Bergerac, Rostand
« Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue » : Phèdre, Racine
L’aveu de Phèdre à Hippolyte, Phèdre, Racine, II, 5.
« Ah, cruel ! tu m’as trop entendue !
Je t’en ai dit assez pour te tirer d’erreur.
Eh bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur :
J’aime ! Ne pense pas qu’au moment que je t’aime,
Innocente à mes yeux, je m’approuve moi-même ; »
« Adieu Camille, retourne à ton couvent » : On ne badine pas avec l'amour, de Musset
« C'est un roc !… C'est un pic !… C'est un cap ! » tirade du nez, Cyrano de Bergerac
« Non, elle est générale, et je hais tous les hommes » tirade d'Alceste, Le Misanthrope, Molière
citations plus précises (moins célèbres)
Rodogune, Corneille
« Enfin ce jour pompeux, cet heureux jour nous luit,
Qui d'un trouble si long doit dissiper la nuit, »
« Croyant son mari mort, elle épousa son frère. »
1,I
« L'égalité, mon frère, en est le ferme appui ;
C'en est le fondement, la liaison, le gage ; »
« Ô mon cher frère ! Ô nom pour un rival trop doux !
Que ne ferais-je point contre un autre que vous ? »
I, 3
« Mes enfants, prenez place. Enfin voici le jour
Si doux à mes souhaits, si cher à mon amour,
Où je puis voir briller sur une de vos têtes
Ce que j'ai conservé parmi tant de tempêtes, »
« Jusques ici, madame, aucun ne met en doute
Les longs et grands travaux que notre amour vous coûte, »
« Mais soit crime ou justice, il est certain, mes fils, »
Que mon amour pour vous fit tout ce que je fis »
II, 3
« Je ne sais s'il est digne ou d'horreur ou d'estime,
S'il plut aux dieux ou non, s'il fut justice ou crime ;
Mais soit crime ou justice, il est certain, mes fils,
Que mon amour pour vous fit tout ce que je fis :
Ni celui des grandeurs ni celui de la vie
Ne jeta dans mon coeur cette aveugle furie. »
acte II, scène 3
« Recevez donc, mes fils, de la main d'une mère
Un trône racheté par le malheur d'un père. »
acte II, scène 3
« Daigne du juste ciel la bonté souveraine,
Vous en laissant le fruit, m'en réserver la peine,
Ne lancer que sur moi les foudres mérités,
Et n'épandre sur vous que des prospérités ! »
acte II, scène 3
Le Cid, Corneille
« Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie !
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? »
Don Diègue, Acte I, scène 4
« Le Comte : Retire-toi d’ici.
Don Rodrigue : Marchons sans discourir.
Le Comte : Es-tu las de vivre ?
Don Rodrigue : As-tu peur de mourir ? »
Le Cid de Corneille (acte II scène 2)
« Don Rodrigue – […] Ton malheureux amant aura bien moins de peine
À mourir par ta main qu'à vivre avec ta haine.
Chimène – Va, je ne te hais point.
Don Rodrigue – Tu le dois.
Chimène – Je ne puis. »
acte III scène 4
« Laisse faire le temps, ta vaillance et ton roi », dernier vers du Cid
Cinna, Corneille
« Je suis maître de moi comme de l'univers », V, 3
Phèdre
« Je t’en ai dit assez pour te tirer d’erreur.
Eh bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur :
J’aime ! Ne pense pas qu’au moment que je t’aime,
Innocente à mes yeux, je m’approuve moi-même ; »
L’aveu de Phèdre à Hippolyte, Phèdre, Racine, II, 5.
Le Misanthrope, Molière
« Je veux qu’on me distingue, et pour le trancher net,
L’ami du genre humain n’est point du tout mon fait. »
tirade d'Alceste, Le Misanthrope, Molière
Cyrano
« UNE BANDE DE PAGES,
se tenant par la main, entre en farandole et chante.
Tra la la la la la la la la la la lère… »
« LE BOURGEOIS, Ne se croirait-on pas en quelque mauvais lieu ? // Buveurs… Bretteurs ! Joueurs !
LE GARDE, Un baiser !
LE BOURGEOIS, Jour de Dieu !
– Et penser que c’est dans une salle pareille
Qu’on joua du Rotrou, mon fils !
LE JEUNE HOMME, Et du Corneille ! »
scène 1, acte I
« LE BRET, Fais tout haut l’orgueilleux et l’amer, mais tout bas,
Dis-moi tout simplement qu’elle ne t’aime pas ! »
scène VIII, acte II
« Vous souvient-il du soir où Christian vous parla
Sous le balcon ? Eh bien toute ma vie est là :
Pendant que je restais en bas, dans l’ombre noire,
D’autres montaient cueillir le baiser de la gloire ! »
scène 6, acte V
A Midsummer Night’s Dream
« Love looks not with the eyes, but with the mind; and therefore is winged Cupid painted blind »
Ubu roi, Alfred Jarry, 1895 « Merdre »
La leçon, Ionesco
Les Fausses Confidences, Marivaux
« ARAMINTE, avec impatience.
Est-ce que vous êtes fâchée de vous en aller ? Eh bien,
restez, Mademoiselle, restez : j'y consens ; mais
finissons. »
L’Avare, Molière (Acte IV, scène 7)
« Harpagon, seul, criant au voleur dès le jardin, et venant sans chapeau.
Au voleur ! au voleur ! à l’assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné ; on m’a coupé la gorge : on m’a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? »
La cantatrice chauve, Ionesco
« C'est pas par là, c'est par ici, c'est pas par
là, c'est par ici, c'est pas par là, c'est par
ici, c'est pas par là, c'est par ici, c'est pas
par là, c'est par ici, c'est pas par là, c'est
par ici *! »
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